Diddi Trix vous emmène au cœur de “La cité” avec son nouveau clip

En à peine une année, Diddi Trix est parvenu à multiplier les projets musicaux pour s’installer durablement sur la scène urbaine française. Passé du statut d’inconnu à celui de véritable révélation en 2019, il a réussi à sortir la mixtape “Trix City“, mais aussi un EP west coast concept intitulé “Cartel de Bondy“. Le nouveau prodige du rap français s’est notamment illustré avec le freestyle “Pétou” toujours disponible sur notre chaîne, qui a reçu un accueil triomphal de la part du public. Cette notoriété grandissante lui a par ailleurs permis de se produire devant 8000 personnes lors du festival “Les Ardentes“.

Grâce à l’appui du label AWA dirigé par Kore qui s’investit beaucoup dans son développement, le rappeur de Bondy a ainsi gravi les échelons uns à uns. La recette de son succès est somme toute assez simple, mais diablement efficace. Que ce soit par ses gimmicks, son timbre de voix, ou encore son flow largement inspiré de la culture musicale américaine, l’artiste a su confectionner de multiples bangers à succès. L’heure est maintenant venue pour lui de confirmer les nombreuses attentes placées en lui.

Ce morceau “La cité” est ainsi le premier single dévastateur d’un album à venir prochainement qui ne manquera pas d’attiser la curiosité des fans. Une fois de plus, Diddi se distingue grâce à l’originalité de sa patte artistique. Il vous embarque pour l’occasion dans une visite guidée grandeur nature de son quartier bondynois. Sur une prod très agressive, La Trix se sert de la fougue qui l’habite dans le but de confectionner un titre extrêmement énergique.

Dans ce clip qui met largement à l’honneur la culture urbaine dans toute sa splendeur, Diddi Trix fait ressortir toute la fantaisie de sa personnalité hors du commun. Toujours autant adepte d’une gestuelle peu commune, le rappeur de Bondy prend beaucoup de plaisir devant la caméra comme le confirme le large sourire qu’il arbore. La grande variété de plan permet en tout cas de découvrir les visages de ceux qui comme lui connaissent “La cité” mieux que leur propre poche.