Deen Burbigo : l’indépendance, l’argent, sa vision de la France, Snapchat, le disque d’or

Depuis le début de carrière Deen est resté maître de ses choix artistiques et de ses choix business. Une indépendance qui paraît vitale à ses yeux. « Avant d’être un produit, mon album c’est une oeuvre et avoir une oeuvre qui ne m’appartient je ne peux pas » explique notre invité. Malgré le fait qu’il vive de sa musique, Deen conserve au quotidien le style de vie d’un individu lambda ce qui occasionne certaines situations cocasses qu’il nous raconte.

Dans ces textes Deen semble avoir une vision manichéenne de la société d’un point de vue financer ; entre ceux qui dominent et ceux qui suivent. « C’est possible mais je ne m’en rends pas compte si c’est le cas » nuance le rappeur. Au contraire, ce dernier se dit plutôt ouvert grâce à son cursus scolaire qui lui a permis de fréquenter des gens de classes sociale et culturelle différentes. Enfin, le rappeur qui a beaucoup voyagé et fréquenté des individus avec des profils divers nous dresse le portrait de « sa France » différente de « celle qu’on voit à la TV ».

Actif sur le réseau social Snapchat Deen entretient le lien avec sa fan base grâce notamment à son expression « là gamin » et son alias Georges Crooney. Pour finir, Deen Burbigo nous dévoile ses objectifs : faire le disque d’or « ça serait le rêve d’une vie » avoue Deen qui a « fais l’album qu’(il) rêvait de faire ».

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